Incapacité de marcher

Témoignage 1

ML femme de 64 ans


Voulez vous partager votre expérience chiropratique avec d’autres patients afin de soutenir leur cheminement vers une meilleure santé? Décrivez-nous comment les soins chiropratiques ont changé votre vie et celle de votre famille!

Dans quel état était votre santé en général avant de consulter un chiropraticien et souffriez-vous d’un problème en particulier?

Je suis un bébé qui pesait 4lbs à ma naissance. De plus, on a utilisé des forceps. Ma mère, était petite 4' 10", pesait à peine 80lbs. J’ai été un bébé qui pleurait beaucoup avec beaucoup d’otite. J’ai même perdu l’oreille gauche, nerf auditif et sensoriel, sans vie. Souventes fois, durant mon enfance, je me plaignais du mal au cou. Puis petit à petit, vers l’adolescence, ont débuté des entorses lombaires. Le médecin diagnostiquait « tour de rein “et on me traitait avec des cataplasmes de moutarde ou de pansement médicamenté qui se collait au bas du dos. J’ai connu des épisodes très difficiles, parce que les entorses se répétaient de plus en plus. J’étais active, je faisais du ski de descente, ski de fond, notation, patin, et tennis.

À 23ans, en1967 : Intervention chirurgicale pour hernie discale. J’étais étudiante et c’est avec beaucoup de difficulté que je poursuivais mes études. Je boitais, hanche gauche déplacée de 4 pouces. Assise, j’avais toutes les difficultés à me lever, et au coucher, l’enfer. Puis après entente avec l’orthopédiste, à la fin de mes cours, en mai, je suis hospitalisée pour subir une intervention chirurgicale au niveau lombaire, ‘hernie discale.

J’ai subi une ponction lombaire avant l’intervention. Alitée, je mangeais sur le côté. Puis, étirement avec des pesées au pied du lit et réadaptation physique avec éducation en physiothérapie. Je fus hospitalisée un mois et repos durant six mois lorsque libérée de l’hôpital.

Je me suis trouvé du travail en Service social médical dans l’hôpital où j’avais eu mon intervention. Petit à petit, j’ai commencé à me détériorer. J’ai vécu exactement les mêmes problèmes qu’avant ma première intervention. Et, pourtant, je ne pratiquais aucun sport. Car on m’avait, dis, de ne faire aucun sport violent, c’était dangereux pour moi, sauf la natation, mais sans plongeon.
De nouveau, je fus suivie par un orthopédiste, en physiatrie, physiothérapie, sans résultat.

Finalement en février 1970, hospitalisation d’urgence. Ré - évaluation fait par un neurologue, ponction lombaire. Nouvelle intervention au niveau lombaire. Hospitalisée un mois, la réadaptation a été pénible. Congé de quatre mois où je portais un corset orthopédique et je ne devais pas conduire la voiture.

J’ai vieilli avec une douleur lombaire, qui a nécessité souventes fois des injections et on me prescrivait des anti-inflammatoires. Si je faisais des voyages en touriste, je devais prendre du Valium au coucher. On m’a informée qu’il était mieux pour moi, de ne pas avoir de grossesse.

J’ai eu une vie active, avec des épisodes de douleurs lancinantes au dos. J’ai été suivie par un médecin spécialiste. Puis un chiropraticien durant 3 années.

Quels ont été les moyens que vous avez utilisés avant d’avoir recours à la chiropratique pour remédier à vos problèmes de santé?

À 50ans, entorse lombaire majeure avec hernie discale. J’ai refusé d’être hospitalisée. On m’avait dit que c’était très dangereux d’avoir une nouvelle intervention chirurgicale.

Je n’étais plus capable de marcher, j’ai pris le lit. Mon conjoint a pris soin de moi. J’ai dû porter des couches pour élimination vésicale et fécale.

Une chiropraticienne venait à domicile. Elle me faisait un traitement. Elle me faisait très mal. Quelques heures après son départ, je me faisais de nouveau, une entorse lombaire, en toussant. J’avais même de la difficulté à respirer. Puis, je suis devenue graduellement plus autonome. Je me rendais à son bureau, trois fois par semaine. Elle était très brusque, lors d’un traitement, j’ai même perdu le souffle. J’ai donc tout arrêté.

Je suis de nouveau entrée dans le système de santé. Évaluation en physiatrie où j’ai eu des injections de cortisones au niveau lombaire, injection faite par un radiologiste qui travaillait avec un écran d’ordinateur. Ce fut très pénible. Elle m’a dit que ma colonne était vieille comme une personne de 80ans. À la demande du physiatre, j’ai porté un corset, anti-inflammatoire et huit tylénol par jour, je marchais avec une canne. Puis congé de maladie à long terme. Je ne pouvais plus monter des escaliers. Les activités de la vie quotidienne devenaient de plus en plus difficiles.

Puis, après réflexion, j’ai communiqué avec une chiropraticienne que j’avais connue lorsqu’elle faisait du remplacement de congé à la clinique que je fréquentais. Elle avait une approche chaleureuse, la mécanique était faite en douceur. Elle m’avait fait une très bonne impression.

Une année plus tard, on s’est rencontrée, j’avais 53ans. On a jasé et finalement elle m’a prise à sa clinique. Elle était disponible et, au besoin, je communiquais avec elle pour prendre rendez-vous. Elle était à l’écoute et elle avait des yeux au bout des doigts. Maintenant, je la vois au besoin. De trois fois semaine, on se rencontre aux sept semaines environ.

Depuis que vous avez consulté un chiropraticien, quels sont les changements que vous et votre famille avez observés sur votre état de santé en général et en particulier?

D'abord, je suis retraitée depuis 1997, à 54ans. Donc, je n’ai plus le stress du travail.

J’étais très déprimée, parce que je voyais l’avenir très noir. Je me suis posée la question : ‘Je meurs ou je continu à vivre différemment.’ la souffrance physique est un mal qui nous enlève toute énergie, qui nous mine de l’intérieur.

Le contact avec cette chiropraticienne m’a amenée à rencontrer un psychologue, car, avec mes nouveaux traitements qu’elle me donnait, certaines émotions enfuies à l’intérieur de moi sont ressorties.

Depuis, je me suis inscrite dans un centre de conditionnement physique ou il ya un suivi médical avec kinésiologue. Petit à petit, j’ai repris de la force physique, du tonus musculaire qui m’aide beaucoup avec le support de la chiropraticienne.
J’ai retrouvé ma joie de vivre, le plaisir de refaire certains gestes au quotidien que je ne pouvais ou faisais que difficilement. Je ne prends plus de cannes, ni de corset. Selon les dires de mon entourage, mon visage est beaucoup plus serein. La douleur que mon expression faciale laissait percevoir est disparue.

Je prends toujours un anti-inflammatoire une fois par jour et six tylénol. Ma douleur est davantage moins lancinante et de beaucoup. J’apprends à vivre avec cette douleur au quotidien.

Est-ce que votre perception ou votre rapport avec votre santé ont changé depuis que vous avez consulté un chiropraticien?

Je connais davantage mes limites, je fais de l’activité physique et je suis de plus en plus proche de mes besoins.

Mon approche avec la chiropraticienne est faite de confiance, de support, d’échanges qui me permettent de sentir que je ne suis plus seule pour vivre mes limites. Son contact me fait du bien et je sais que je suis sur la bonne route.

Je n’attends pas la guérison, parce que c’est impensable, mais je sais que je peux toujours aller plus loin dans ma qualité de vie.

Recommanderiez-vous la chiropratique aux autres? Dites-nous pourquoi?

Je recommande la chiropratique ayant une approche humaine, chaleureuse qui peut écouter et a de la disponibilité en créant un lien de confiance et qui travaille en collaboration avec d’autres intervenants du réseau.

Je recommande cette personne continuellement à mes connaissances. Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre un Ange sur notre chemin.

Je l’apprécie et je dirais même que je l’aime beaucoup. Je souhaite cette chance pour ceux au celles qui s’orienteront à sa clinique.

Nom : MDML : 64ans 10/08/07

Témoignage 2

AVOIR LE DROIT DE SE FAIRE JOUER DANS LE DOS

À la suite d'un mouvement brusque que j'ai fait chez moi en essayant d'arracher des racines coriaces qui encombraient mon jardin, un mal de dos continuel et qui s'aggravait de jour en jour m'empêchait de donner mon maximum au travail et faisait en sorte que mes nuits étaient de courte durée.

Après plusieurs visites chez mon médecin traitant, celui-ci m'a affirmé que c'était mon nerf sciatique qui était endommagé. On m'a prescrit des anti-inflammatoires et des traitements de physiothérapie.

Après un an de douleurs intenses, de prescriptions en prescriptions, où la force des médicaments était toujours augmentée, après avoir passé des radiographies et un scanner, on a fini par me dire que je faisais de l'arthrose et que j'en avais pour le reste de mes jours à endurer mon mal.

Une bonne amie à moi, me voyant me déplacer comme "bossu de Notre Dame", me conseilla d'aller consulter un chiropraticien. Et c'est là qu'est entré dans le décor le Docteur Michel Vézina de Trois-Rivières. Après avoir pris des radiographies de mon dos, nous avons constaté "ensemble", ce qui n'est pas le cas dans les hôpitaux, que j'avais le bassin déplacé, tout croche, et qu'un début de hernie discale était en train de se développer.

C'est grâce au Docteur Vézina, qui a diagnostiqué tout cela et après des traitements appropriés, qu je peux aujourd'hui marcher comme tout le monde, dormir toute la nluit sans douleurs atroces et profiter de la vie au maximum.

Merci doctuer de m'avoir "joué dans le dos" et j'espère bien qu'on vous laissera exercer votre profession sans problème parce que vous m'avez donné l'heure juste quand je vous ai consulté. Merci aussi à Louise de m'avoir suggéré cette démarche.

A.Nadeau
Saint Léonard D'Aston


Témoignage 3

Dr Marie-France Forget,
Action Santé Chiropratique Le Gardeur


Dr Forget,

J'aimerais vous dire que suite à vos bons traitements, j'ai retrouvé le bon fonctionnement de mes doigts et de mon épaule.

Je suis persuadé que vous aurez une longue carrière dans votre domaine car vous êtes très compétente et très professionnelle.

J'aimerais aussi souligner que grâce à des traitements chiropratiques que j'ai reçus dans le passé, j'ai retrouvé ma santé. Moi qui ne marchait plus et qui était destiné à un fauteuil roulant en raison de mon arthrite, je suis aujourd'hui en très bonne forme.

En terminant, je vous remercie de vos bons soins et je vous souhaite une longue carrière.


E. Houle
Votre patient


Témoignage 4


Québec, le 19 septembre 2007


Objet: Témoignage de N. Maltais

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J'avais mal depuis si longtemps. J'avais avalé tant de petites pilules pour soulager la douleur...Cette intruse, se croit tout permis, et s'installe à demeure si on n'agit pas avec promptitude. J'ai attendu de longues années avant de rompre avec elle un bail que je croyais signé pour la vie. En fait, jusqu'à ce qu'un bon matin, mon gendre prenne pour moi un rendez-vous au Centre chiropratique Ste-Foy.

À mon premier rendez-vous, j'ai parcouru la distance entre la voiture et la porte du bureau de Dre Bertrand, pliée en deux et intimement convaincue que je me donnais bien du mal pour rien. L'accueil a été chaleureux, l'exament minutieux, les échanges verbaux francs et les échéances réalistes. On m'a habilement fait remarquer que je n'avais pas besoin d'avoir la foi pour retrouver ma santé mais que la persévérance et la volonté de changer certaines mauvaises habitudes seraient des atous précieux. Je n'avais rien à perdre et une excellente raison de persévérer car ma fille venait de m'annoncer que je serais grand-mère.

Aujourd'hui, je marche droit et avant d'oublier, que j'étais incapable de tourner la tête à droite et à gauche, que j'éprouvais des difficultés à monter et à descendre de ma voiture et pire encore à la conduire, avant d'oublier toutes les nuits blanches à attendre en vain le sommeil, tous les matins difficiles où chaque sevice rendu devenait un acte de bravoure et parfois même d'héroïsme, je voudrais remercier ma chiropraticienne pour ses bons soins. Elle me garde sur les sentiers de la santé. Pour sûr les traitements reçus en chiropratique ne m'ont pas redonner mes trente ans mais, ils ont grandement amélioré ma qualité de vie et m'ont permis de retrouver ma mobilité et une démarche normale sans intervention chirugicale.


Témoignage 5

6 juin 96

Suite à un accident de travail, j’ai eu un mal de dos très pénible à tel point que je ne pouvais plus marcher. Je peux dire que ma confiance n’était pas forte vis-à-vis la chiropratique mais, j’ai réalisé mon erreur. Le docteur Aumont a posé un diagnostic, m’a expliqué le problème au niveau des vertèbres, des disques, ce qui se passerait au cours de ma guérison et je peux dire qu’il a vu juste. Le temps, le repos et surtout le bon travail de la chiropratie m’ont remis sur pied. Merci Michel.


R. Blanchet