Émotions

Témoignage 1

Wendake, le 27 novembre 2006

Clinique Robin Paul

A/S : Monsieur Paul et aux membres du personnel

Objet : une cliente, Madame Thibodeau

Je me porte à la défense des services reçus ici, à la ''Clinique Robin Paul de Wendake".

Les soins reçus par les spécialistes de la Clinique Tobin Paul, à Wendake, ont permis la progression de ma santé à un niveau insoupçonné! C’est globalement que le mieux-être s’est répercuté dans mon corps.

Faisant appel aux multiples disciplines que chacun (e) possède, ils ont réussi, là ou un autre a échoué. Ils ont recréé le rétablissement dans l’infiniment petit, invisible aux rayons-x. Ainsi, par manipulations des vertèbres cervicales, suivies de palpations crâniennes, il y a eu réaction positive. Un décongestionnement des petits vaisseaux sanguins s’est réactivé par le système du liquide limbique. Ce liquide limbique s’est mis à circuler d’un hémisphère à l’autre du cerveau (je pouvais en sentir l’effet de chaleur sous mon crâne!) de sorte que les inflammations sous musculaires persistantes ont disparu en quelques séances

Les thérapeutes en chiropractie, en Physiothérapie et en approche Ostéopathique ont ainsi pu traiter mon bras droit (que l’on ne pouvait bouger sans que je pousse des cris) afin de procéder aux étirements bénéfiques de la physiothérapie. Les conseils prodigués par la Naturopathe ont aidé à mettre à contribution les soins reçus par ses pairs. La Massothérapie permet de regagner en assouplissement des muscles réchauffés même ceux que j’ignorais, là oü il y avait douleurs.

Leur savoir-faire s’étend au-delà de replacer des vertèbres, des nerfs ou de réchauffer des muscles endoloris avant de les étirer! Mes veines et vaisseaux sanguins ont repris leur circuit habituel, cela a eu pour effet de faire disparaître les inflammations.

Parfois, quand j’étais trop tendue, la vibration naturelle de mes organes vitaux n’apparaissait même pas. Ma cage thoracique était à ce point coincée que je ne respirais qu’en surface, ce qui rendait vaine toute amélioration des traitements. C’est avec l’aide d’un instrument vibratoire que mes poumons se sont remis à chercher l’air! Les émotions emprisonnées là, depuis de longs mois, se sont alors manifestées. Le thérapeute en phase du traitement a su les accueillir, tout en me parlant avec sagesse, comme les quelques fois oû cela s’est reproduit.

Tous ces soins mis à la suite les uns des autres ont favorisé une récupération d’ensemble de ma santé. L’audition de mon oreille gauche et la vision de mon œil, de ce même côté, ont subi une amélioration également, alors que je ne m’y attendais pas du tout ! Voilà les bienfaits que je recherchais et je les ai reçus. Ailleurs, on se contentait de me prescrire des médicaments en déclarant :.

Sincèrement merci,

Madame Thibodeau

Témoignage 2

Lorsque je me suis adressé au Dr Bergeron, j’éprouvais de grandes douleurs au cou depuis un accident d’automobile survenu il y a 18 ans. Ces douleurs occasionnaient des élancements dans les deux épaules et m’empêchaient de dormir d’un bon sommeil vu que je devais continuellement changer de position et de sortes d’oreillers; dans les derniers temps, j’avais même de la difficulté à tourner la tête normalement, je devais tourner mon corps pour regarder quelqu’un qui arrivait de côté. De plus, suite à un accident survenu en 1990, j’ai dû subir une opération au dos au niveau L5-S1 pour enlever une hernie discale et depuis,j’avais énormément de difficulté à effectuer mon travail régulier sans devoir prendre jusqu’à 2000mg d’anti-inflammatoire quotidiennement. Les médecins que je consultais levaient les épaules en me disant que je devais apprendre à vivre avec ça.

Un samedi au début janvier 2001, je suis allé faire des achats à Place Portobello et j’ai rencontré le Dr Bergeron qui y tenait un kiosque. Après lui avoir parlé de ma condition, il m’a dit pouvoir faire quelque chose pour moi. J’avais déjà vu des chiros par le passé mais sans résultats très probants sauf que j’ai eu confiance au Dr Bergeron et en sa méthode; en le voyant , je me suis dit que je n’avais rien à perdre. Lorsque le Dr m’a donné mes résultats d’analyse, j’avoue que je n’étais pas très surpris du travail à faire avec moi. Le Dr Bergeron m’a dit que j’aurais des résultats assez rapides au niveau des douleurs mais que pour que les résultats se fassent sentir vraiment je devais m’attendre entre 6 mois et un an de traitements. Les traitements ont débuté vers le 7 janvier 2001 et je dois dire que dès le premier traitement j’ai vu une nette différence au niveau de la douleur. Après environ 3 semaines à un mois de 3 traitements par semaine, je pouvais dormir d’un très bon sommeil et enfin effectuer mon travail sans continuellement avoir la douleur dans mes pensées.

Maintenant, j’en suis rendu à un traitement par semaine et je me sens très bien que ce soit pour mon cou, les épaules et mon dos. Et je n’ai pas besoin de vous dire que mon caractère est beaucoup mieux aussi, vu qu’avec la douleur j’avais de plus en plus de difficulté à gérer mes émotions. Je dois dire ici que lorsque j’ai commencé mes traitements, je ne me suis pas fixé de temps ou de résultats, j’ai préféré suivre le cours des choses et voir la progression de la guérison et maintenant je ne peux que vous souhaiter autant de bien-être que j’en éprouve à l’heure actuelle.

Je vois mes traitements comme le plus beau cadeau que je me suis fait depuis longtemps. Merci Dr Marcel Bergeron pour votre professionnalisme comme votre belle personnalité.


S. Asselin

Témoignage 3

ML femme de 64 ans

Voulez vous partager votre expérience chiropratique avec d’autres patients afin de soutenir leur cheminement vers une meilleure santé? Décrivez-nous comment les soins chiropratiques ont changé votre vie et celle de votre famille!

Dans quel état était votre santé en général avant de consulter un chiropraticien et souffriez-vous d’un problème en particulier?

Je suis un bébé qui pesait 4lbs à ma naissance. De plus, on a utilisé des forceps. Ma mère, était petite 4' 10", pesait à peine 80lbs. J’ai été un bébé qui pleurait beaucoup avec beaucoup d’otite. J’ai même perdu l’oreille gauche, nerf auditif et sensoriel, sans vie. Souventes fois, durant mon enfance, je me plaignais du mal au cou. Puis petit à petit, vers l’adolescence, ont débuté des entorses lombaires. Le médecin diagnostiquait « tour de rein “et on me traitait avec des cataplasmes de moutarde ou de pansement médicamenté qui se collait au bas du dos. J’ai connu des épisodes très difficiles, parce que les entorses se répétaient de plus en plus. J’étais active, je faisais du ski de descente, ski de fond, notation, patin, et tennis.

À 23ans, en1967 : Intervention chirurgicale pour hernie discale. J’étais étudiante et c’est avec beaucoup de difficulté que je poursuivais mes études. Je boitais, hanche gauche déplacée de 4 pouces. Assise, j’avais toutes les difficultés à me lever, et au coucher, l’enfer. Puis après entente avec l’orthopédiste, à la fin de mes cours, en mai, je suis hospitalisée pour subir une intervention chirurgicale au niveau lombaire, ‘hernie discale.

J’ai subi une ponction lombaire avant l’intervention. Alitée, je mangeais sur le côté. Puis, étirement avec des pesées au pied du lit et réadaptation physique avec éducation en physiothérapie. Je fus hospitalisée un mois et repos durant six mois lorsque libérée de l’hôpital.

Je me suis trouvé du travail en Service social médical dans l’hôpital où j’avais eu mon intervention. Petit à petit, j’ai commencé à me détériorer. J’ai vécu exactement les mêmes problèmes qu’avant ma première intervention. Et, pourtant, je ne pratiquais aucun sport. Car on m’avait, dis, de ne faire aucun sport violent, c’était dangereux pour moi, sauf la natation, mais sans plongeon.
De nouveau, je fus suivie par un orthopédiste, en physiatrie, physiothérapie, sans résultat.

Finalement en février 1970, hospitalisation d’urgence. Ré - évaluation fait par un neurologue, ponction lombaire. Nouvelle intervention au niveau lombaire. Hospitalisée un mois, la réadaptation a été pénible. Congé de quatre mois où je portais un corset orthopédique et je ne devais pas conduire la voiture.

J’ai vieilli avec une douleur lombaire, qui a nécessité souventes fois des injections et on me prescrivait des anti-inflammatoires. Si je faisais des voyages en touriste, je devais prendre du Valium au coucher. On m’a informée qu’il était mieux pour moi, de ne pas avoir de grossesse.

J’ai eu une vie active, avec des épisodes de douleurs lancinantes au dos. J’ai été suivie par un médecin spécialiste. Puis un chiropraticien durant 3 années.

Quels ont été les moyens que vous avez utilisés avant d’avoir recours à la chiropratique pour remédier à vos problèmes de santé?

À 50ans, entorse lombaire majeure avec hernie discale. J’ai refusé d’être hospitalisée. On m’avait dit que c’était très dangereux d’avoir une nouvelle intervention chirurgicale.

Je n’étais plus capable de marcher, j’ai pris le lit. Mon conjoint a pris soin de moi. J’ai dû porter des couches pour élimination vésicale et fécale.

Une chiropraticienne venait à domicile. Elle me faisait un traitement. Elle me faisait très mal. Quelques heures après son départ, je me faisais de nouveau, une entorse lombaire, en toussant. J’avais même de la difficulté à respirer. Puis, je suis devenue graduellement plus autonome. Je me rendais à son bureau, trois fois par semaine. Elle était très brusque, lors d’un traitement, j’ai même perdu le souffle. J’ai donc tout arrêté.

Je suis de nouveau entrée dans le système de santé. Évaluation en physiatrie où j’ai eu des injections de cortisones au niveau lombaire, injection faite par un radiologiste qui travaillait avec un écran d’ordinateur. Ce fut très pénible. Elle m’a dit que ma colonne était vieille comme une personne de 80ans. À la demande du physiatre, j’ai porté un corset, anti-inflammatoire et huit tylénol par jour, je marchais avec une canne. Puis congé de maladie à long terme. Je ne pouvais plus monter des escaliers. Les activités de la vie quotidienne devenaient de plus en plus difficiles.

Puis, après réflexion, j’ai communiqué avec une chiropraticienne que j’avais connue lorsqu’elle faisait du remplacement de congé à la clinique que je fréquentais. Elle avait une approche chaleureuse, la mécanique était faite en douceur. Elle m’avait fait une très bonne impression.

Une année plus tard, on s’est rencontrée, j’avais 53ans. On a jasé et finalement elle m’a prise à sa clinique. Elle était disponible et, au besoin, je communiquais avec elle pour prendre rendez-vous. Elle était à l’écoute et elle avait des yeux au bout des doigts. Maintenant, je la vois au besoin. De trois fois semaine, on se rencontre aux sept semaines environ.

Depuis que vous avez consulté un chiropraticien, quels sont les changements que vous et votre famille avez observés sur votre état de santé en général et en particulier?

D'abord, je suis retraitée depuis 1997, à 54ans. Donc, je n’ai plus le stress du travail.

J’étais très déprimée, parce que je voyais l’avenir très noir. Je me suis posée la question : ‘Je meurs ou je continu à vivre différemment.’ la souffrance physique est un mal qui nous enlève toute énergie, qui nous mine de l’intérieur.

Le contact avec cette chiropraticienne m’a amenée à rencontrer un psychologue, car, avec mes nouveaux traitements qu’elle me donnait, certaines émotions enfuies à l’intérieur de moi sont ressorties.

Depuis, je me suis inscrite dans un centre de conditionnement physique ou il ya un suivi médical avec kinésiologue. Petit à petit, j’ai repris de la force physique, du tonus musculaire qui m’aide beaucoup avec le support de la chiropraticienne.
J’ai retrouvé ma joie de vivre, le plaisir de refaire certains gestes au quotidien que je ne pouvais ou faisais que difficilement. Je ne prends plus de cannes, ni de corset. Selon les dires de mon entourage, mon visage est beaucoup plus serein. La douleur que mon expression faciale laissait percevoir est disparue.

Je prends toujours un anti-inflammatoire une fois par jour et six tylénol. Ma douleur est davantage moins lancinante et de beaucoup. J’apprends à vivre avec cette douleur au quotidien.

Est-ce que votre perception ou votre rapport avec votre santé ont changé depuis que vous avez consulté un chiropraticien?

Je connais davantage mes limites, je fais de l’activité physique et je suis de plus en plus proche de mes besoins.

Mon approche avec la chiropraticienne est faite de confiance, de support, d’échanges qui me permettent de sentir que je ne suis plus seule pour vivre mes limites. Son contact me fait du bien et je sais que je suis sur la bonne route.

Je n’attends pas la guérison, parce que c’est impensable, mais je sais que je peux toujours aller plus loin dans ma qualité de vie.

Recommanderiez-vous la chiropratique aux autres? Dites-nous pourquoi?

Je recommande la chiropratique ayant une approche humaine, chaleureuse qui peut écouter et a de la disponibilité en créant un lien de confiance et qui travaille en collaboration avec d’autres intervenants du réseau.

Je recommande cette personne continuellement à mes connaissances. Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre un Ange sur notre chemin.

Je l’apprécie et je dirais même que je l’aime beaucoup. Je souhaite cette chance pour ceux au celles qui s’orienteront à sa clinique.

Nom : MDML : 64ans 10/08/07