Douleurs au bassin

Témoignage 1


La Chiropratique et les mains d’André

Le mardi 18 septembre 2001, vers16h30, j’ai fait une chute à seulement 42 pouces de hauteur, mais j’avais dans les bras une boîte que je devais protéger ; alors, je suis arrivé au sol sur le talon gauche et j’ai basculé vers l’avant, tombant sur le coude gauche. Seulement après quelques minutes, j’ai ressenti un gros mal de tête et de cou. J’avais une barre qui me traversait le dos en plus d’avoir mal au bassin. Je me suis couché très tôt avec beaucoup de mal et je n’ai presque pas dormi, étant incapable de me trouver une position confortable.

Le lendemain matin, ça n’allait pas du tout, j’étais épuisé, je tremblais, j’étais gelé, tout en ayant, le corps très chaud; je devais constamment me passer de l’eau froide au visage pour m’assurer de ne pas perdre connaissance. Incapable de conduire mon auto, je me suis fait reconduire au Centre Chiropratique pour l’ouverture. André a commencé par travailler mon cou et mon dos; durant mon traitement, je devais toujours continuer de m’éponger à l’eau froide, je n’avais pas de souffle et je tremblais. J’ai dû me reposer à quelques reprises durant le traitement, incapable d’aller trop vite. Déjà, seulement après avoir réaligné mon dos et mon cou, je sentais que ma respiration s’améliorait; ensuite, on a continué avec le bassin et mon pied gauche. Le traitement fini, je me suis mis à trembler et j’étais incapable de contrôler ça, je sentais que l’énergie passait à nouveau et que mes tensions relâchaient.

J’en ai profité pour remercier André de s’occuper de moi si vite et si bien et je m’en retournai chez-moi.

Incroyable mais vrai, à 2 heures en après midi, j’avais réussi à manger léger et je prenais déjà une petite marche autour de chez-moi, conscient des bienfaits de la chiropratique sur le corps humain.

Merci à toute l’équipe.

D. Thibault

Témoignage 2

Mi-octobre 1996, presque du jour au lendemain, j’ai été saisie d’un terrible mal au bas du dos. J’avais tellement mal que je n’arrivais pas à dormir plus d'une heure par nuit, je marchais avec difficulté et m’asseoir plus de 10 minutes m’était impossible.

Je me suis présentée à la clinique du Dr André Paris; je faisais une entorse lombaire, j’avais le bassin déplacé et les muscles fessiers avec une force rendue à zéro. Devant la gravité du cas, il m’a dit de rester couchée en permanence, prescrit des exercices d’assouplissement, à mon rythme, et sans forcer, en plus de 3 traitements par semaine. Par la suite, on a rétabli l’équilibre du basin avec une talonnette sous le pied gauche.

J’ai suivi les conseils du Dr Paris à la lettre tout le temps nécessaire. Je suis restée couchée 21/2 mois, je n’ai jamais manqué un rendez-vous et en plus j’ai choisi de ne pas prendre d’anti-inflammatoire. J’ai su garder le moral. Le Dr Paris m’avait assuré que je guérirais si je faisais ce qu’il me disait et je l’ai cru.

Cela a été vrai car je suis redevenue fonctionnelle. Il m’a cependant dit que ce serait long, sans préciser le temps que cela prendrait. Jamais je n’ai senti la moindre inquiétude chez-lui, il m’a toujours encouragée, a toujours répondu à mes nombreuses questions avec beaucoup de patience. Il m’a expliqué et répété le déroulement de la guérison, la convalescence, la nature du mal, la normalité des rechutes ainsi qu'une guérison en dents de scie, avec des hauts et des bas.

Ce que j’ai omis de dire, c’est qu’en 1992, j’avais eu quelques traitements (à ce moment-là, je voyais un autre chiro) mais dès que j’ai senti un mieux-être après quelques traitements, j’ai tout arrêté. Début 1996, crise sciatique, même chose, quelques traitements et on continue notre routine; j’ai fait à ces moments-là comme beaucoup de personnes, j’ai pensé que c’était correct et que ça allait revenir tout seul.

Nous avons découvert, le Dr Paris et moi, que bien des années auparavant, j’avais fait une grave chute. Mon corps étant de constitution solide avait encaissé le coup et s’était organisé pour fonctionner tout croche, mais un beau jour, le corps ne veut plus s’arranger et il craque. Si, en 1992, je m’étais fait traiter au lieu de prendre ça à la légère, je n’en serais jamais arrivée en 1996 avec une si grande incapacité.

Comme le Dr Paris l’avait dit, ç'a été long. J’ai recommencé doucement à fonctionner ½ heure assise, 1 heure couchée et lentement les moments assis, debout ou à travailler ont été plus longs que les moments où j’étais obligée de rester couchée. Aujourd’hui, je suis capable de faire des journées complètes. Il m’arrive encore parfois d’avoir mal, mais je vais en traitement et tout de suite et ça se replace. Depuis, j’ai pris de bonnes habitudes dans la façon de me pencher, d’entrer dans l’auto, de m’asseoir et de travailler et, en plus, je fais de exercices d’assouplissement. Jamais je ne serais revenue à la santé si je n’avais pas écouté. En plus, je sens un regain d’énergie. Grâce aux soins du Dr Paris, à ses encouragements et sa bonne humeur, j’ai su garder le moral. Jamais je n’oublierai ce qu’il a fait pour moi. Il ne m’a non seulement traité les vertèbres, il a su, par son professionnalisme, son écoute et sa patience faire que je puisse m’en sortir malgré la gravité de mon cas. J’ai senti et vu à quel point ses patients sont importants pour lui. Je ne dois pas oublier de parler de l’excellent travail de ses deux assistantes: elles aussi, par leur attitude patiente et encourageante, m’ont aidée.

Je conclurai en résumant : -Écouter son corps ;

-Suivre parfaitement les conseils du chiropraticien;

-Persévérer;

-Croire de toutes ses forces en la guérison.



B. Sylvest