Cortisone

Témoignage 1


Jessica, 28 ans

« Travaillant sur ordinateur, j’ai développé des tendinites aux poignets et un épicondylite. J’ai pris des anti-inflammatoires et porté des attelles. Après un mois et demi, la situation n’était pas mieux et la douleur augmentait. J’ai décidé de consulter en chiropratique malgré ma crainte des traitements douloureux.

Dr Meloche a su me rassurer et grâce à ses différentes techniques, j’ai retrouvé l’usage des mes poignets et de mon coude et ce, sans douleur et sans l’injection de cortisone qui m’avait été recommandée ».

ML femme de 64 ans

Témoignage 2

Voulez vous partager votre expérience chiropratique avec d’autres patients afin de soutenir leur cheminement vers une meilleure santé? Décrivez-nous comment les soins chiropratiques ont changé votre vie et celle de votre famille!

Dans quel état était votre santé en général avant de consulter un chiropraticien et souffriez-vous d’un problème en particulier?


Je suis un bébé qui pesait 4lbs à ma naissance. De plus, on a utilisé des forceps. Ma mère, était petite 4' 10", pesait à peine 80lbs. J’ai été un bébé qui pleurait beaucoup avec beaucoup d’otite. J’ai même perdu l’oreille gauche, nerf auditif et sensoriel, sans vie. Souventes fois, durant mon enfance, je me plaignais du mal au cou. Puis petit à petit, vers l’adolescence, ont débuté des entorses lombaires. Le médecin diagnostiquait « tour de rein “et on me traitait avec des cataplasmes de moutarde ou de pansement médicamenté qui se collait au bas du dos. J’ai connu des épisodes très difficiles, parce que les entorses se répétaient de plus en plus. J’étais active, je faisais du ski de descente, ski de fond, notation, patin, et tennis.

À 23ans, en1967 : Intervention chirurgicale pour hernie discale. J’étais étudiante et c’est avec beaucoup de difficulté que je poursuivais mes études. Je boitais, hanche gauche déplacée de 4 pouces. Assise, j’avais toutes les difficultés à me lever, et au coucher, l’enfer. Puis après entente avec l’orthopédiste, à la fin de mes cours, en mai, je suis hospitalisée pour subir une intervention chirurgicale au niveau lombaire, ‘hernie discale.

J’ai subi une ponction lombaire avant l’intervention. Alitée, je mangeais sur le côté. Puis, étirement avec des pesées au pied du lit et réadaptation physique avec éducation en physiothérapie. Je fus hospitalisée un mois et repos durant six mois lorsque libérée de l’hôpital.

Je me suis trouvé du travail en Service social médical dans l’hôpital où j’avais eu mon intervention. Petit à petit, j’ai commencé à me détériorer. J’ai vécu exactement les mêmes problèmes qu’avant ma première intervention. Et, pourtant, je ne pratiquais aucun sport. Car on m’avait, dis, de ne faire aucun sport violent, c’était dangereux pour moi, sauf la natation, mais sans plongeon.
De nouveau, je fus suivie par un orthopédiste, en physiatrie, physiothérapie, sans résultat.

Finalement en février 1970, hospitalisation d’urgence. Ré - évaluation fait par un neurologue, ponction lombaire. Nouvelle intervention au niveau lombaire. Hospitalisée un mois, la réadaptation a été pénible. Congé de quatre mois où je portais un corset orthopédique et je ne devais pas conduire la voiture.

J’ai vieilli avec une douleur lombaire, qui a nécessité souventes fois des injections et on me prescrivait des anti-inflammatoires. Si je faisais des voyages en touriste, je devais prendre du Valium au coucher. On m’a informée qu’il était mieux pour moi, de ne pas avoir de grossesse.

J’ai eu une vie active, avec des épisodes de douleurs lancinantes au dos. J’ai été suivie par un médecin spécialiste. Puis un chiropraticien durant 3 années.

Quels ont été les moyens que vous avez utilisés avant d’avoir recours à la chiropratique pour remédier à vos problèmes de santé?

À 50ans, entorse lombaire majeure avec hernie discale. J’ai refusé d’être hospitalisée. On m’avait dit que c’était très dangereux d’avoir une nouvelle intervention chirurgicale.

Je n’étais plus capable de marcher, j’ai pris le lit. Mon conjoint a pris soin de moi. J’ai dû porter des couches pour élimination vésicale et fécale.

Une chiropraticienne venait à domicile. Elle me faisait un traitement. Elle me faisait très mal. Quelques heures après son départ, je me faisais de nouveau, une entorse lombaire, en toussant. J’avais même de la difficulté à respirer. Puis, je suis devenue graduellement plus autonome. Je me rendais à son bureau, trois fois par semaine. Elle était très brusque, lors d’un traitement, j’ai même perdu le souffle. J’ai donc tout arrêté.

Je suis de nouveau entrée dans le système de santé. Évaluation en physiatrie où j’ai eu des injections de cortisones au niveau lombaire, injection faite par un radiologiste qui travaillait avec un écran d’ordinateur. Ce fut très pénible. Elle m’a dit que ma colonne était vieille comme une personne de 80ans. À la demande du physiatre, j’ai porté un corset, anti-inflammatoire et huit tylénol par jour, je marchais avec une canne. Puis congé de maladie à long terme. Je ne pouvais plus monter des escaliers. Les activités de la vie quotidienne devenaient de plus en plus difficiles.

Puis, après réflexion, j’ai communiqué avec une chiropraticienne que j’avais connue lorsqu’elle faisait du remplacement de congé à la clinique que je fréquentais. Elle avait une approche chaleureuse, la mécanique était faite en douceur. Elle m’avait fait une très bonne impression.

Une année plus tard, on s’est rencontrée, j’avais 53ans. On a jasé et finalement elle m’a prise à sa clinique. Elle était disponible et, au besoin, je communiquais avec elle pour prendre rendez-vous. Elle était à l’écoute et elle avait des yeux au bout des doigts. Maintenant, je la vois au besoin. De trois fois semaine, on se rencontre aux sept semaines environ.

Depuis que vous avez consulté un chiropraticien, quels sont les changements que vous et votre famille avez observés sur votre état de santé en général et en particulier?

D'abord, je suis retraitée depuis 1997, à 54ans. Donc, je n’ai plus le stress du travail.

J’étais très déprimée, parce que je voyais l’avenir très noir. Je me suis posée la question : ‘Je meurs ou je continu à vivre différemment.’ la souffrance physique est un mal qui nous enlève toute énergie, qui nous mine de l’intérieur.

Le contact avec cette chiropraticienne m’a amenée à rencontrer un psychologue, car, avec mes nouveaux traitements qu’elle me donnait, certaines émotions enfuies à l’intérieur de moi sont ressorties.

Depuis, je me suis inscrite dans un centre de conditionnement physique ou il ya un suivi médical avec kinésiologue. Petit à petit, j’ai repris de la force physique, du tonus musculaire qui m’aide beaucoup avec le support de la chiropraticienne.
J’ai retrouvé ma joie de vivre, le plaisir de refaire certains gestes au quotidien que je ne pouvais ou faisais que difficilement. Je ne prends plus de cannes, ni de corset. Selon les dires de mon entourage, mon visage est beaucoup plus serein. La douleur que mon expression faciale laissait percevoir est disparue.

Je prends toujours un anti-inflammatoire une fois par jour et six tylénol. Ma douleur est davantage moins lancinante et de beaucoup. J’apprends à vivre avec cette douleur au quotidien.

Est-ce que votre perception ou votre rapport avec votre santé ont changé depuis que vous avez consulté un chiropraticien?

Je connais davantage mes limites, je fais de l’activité physique et je suis de plus en plus proche de mes besoins.

Mon approche avec la chiropraticienne est faite de confiance, de support, d’échanges qui me permettent de sentir que je ne suis plus seule pour vivre mes limites. Son contact me fait du bien et je sais que je suis sur la bonne route.

Je n’attends pas la guérison, parce que c’est impensable, mais je sais que je peux toujours aller plus loin dans ma qualité de vie.

Recommanderiez-vous la chiropratique aux autres? Dites-nous pourquoi?

Je recommande la chiropratique ayant une approche humaine, chaleureuse qui peut écouter et a de la disponibilité en créant un lien de confiance et qui travaille en collaboration avec d’autres intervenants du réseau.

Je recommande cette personne continuellement à mes connaissances. Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre un Ange sur notre chemin.

Je l’apprécie et je dirais même que je l’aime beaucoup. Je souhaite cette chance pour ceux au celles qui s’orienteront à sa clinique.

Nom : MDML : 64ans 10/08/07

Témoignage 3

Le 6 novembre 2002

Il y a quelques semaines, je me sentais très fatigué et moins énergique. Je prends des toniques mais il n'y avait aucun changement. Alors, j'ai consulté Richard et il a vite trouvé mon problème. Après quelques traitements j'étais pleine d'énergie et je pouvais à nouveau faire de grosse semaine de travail.

Par la suite, j'ai commencé à souffrir de céphalés d'Arnolde (type de migraine). Le médecin m'avait prescrit des médicaments et même des infiltrations cortisone. Mais, il n'y avait aucune amélioration et les médicaments me donnaient des effets secondaire.

J'ai donc consulté et après quelques traitements les migraines sont disparues graduellement et même complètement. Maintenant quand un problème survient, je sais où aller.

Ma qualité de vie se porte à merveille.

Anonyme

Témoignage 4

Je suis une jeune grand-mère de 47 ans. Depuis de nombreuses années, j’avais de la douleur au cou et au dos. Je m’apercevais même que j’avais une jambe plus courte que l’autre.

Avant de consulter le Dre Julie Aussant, personne ne m’avait parlé de l’atlas. C’est la première vertèbre cervicale. Elle était déplacée. C’était pour cela que mes jambes étaient inégales. C’était suffisant pour avoir de la douleur car je travaille toujours debout ; je suis coiffeuse.

Par le passé, j’ai consulté des médecins, ostéopathes, physiothérapeutes, massothérapeutes, rhumatologues, etc. J’ai même eu des infiltrations de cortisone, des relaxants musculaires ainsi que des anti-inflammatoires, mais rien ne faisait.

Un jour, j’ai entendu parler du Dre Aussant. Elle a ajusté mon atlas. Cet ajustement était complètement indolore. Depuis que mon atlas est bien en place, j’ai beaucoup moins de douleurs. Aussi, je me suis tout de suite rendu compte que ma démarche était différente puisque mes jambes sont maintenant égales.

Je continue de consulter en moyenne une fois par mois pour être sûre que mes vertèbres demeurent bien en place.

Je suis très satisfaite du résultat et je vous recommande les soins chiropratiques sans hésitations !

Merci Dre Aussant !


Henriette Lessard